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14/02/2008

Témoignage de Frédéric Dupouts

 

Ancien bénévole APF à la délégation départementale de la Gironde (33), Frédéric Dupouts a souhaité apporter son témoignage :

« Après plusieurs demandes, afin de trouver du travail, j’ai finalement trouvé un emploi à temps partiel, comme animateur le mercredi, au centre de loisirs de Romainville.

A ma plus grande stupeur, j’apprends aujourd’hui que l’aide à l’autonomie de 103€ qui m’était accordée est supprimée.

Aussi, mes revenus se voient-ils diminués, ceci sans tenir compte des transports pour me rendre sur mon lieu de travail, qui sont à ma charge.

Cette situation nous montre l’énorme problème du système qui reprend de l’argent à une personne en situation de handicap alors que ses finances ne seront pas supérieures.

Cela démontre qu’à notre époque, absolument tout est fait pour ne pas intégrer une personne en situation de handicap dans la société, au niveau du travail.

Mais peut-être veut-on juste les laisser sans perspective d’avenir? »

 

 

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Commentaires

Bonjour
J'ai été mise en retraite pour invalidité il y a 10 ans, je suis atteinte d'une maladie génétique, neuromusculaire évolutive qui porte le nom d'Algoneurodystrophie, et malheureusement depuis bientôt 3 ans, mon fils a lui aussi cette maladie. elle est mal connue par les médecins, voir des spécialistes. Enfin, voilà l'année dernière, du fait que ma pension avait augmenté on va dire de 10 euros par mois c'est à dire au lieu de toucher 453 euros j'en touché 466 euros, la CAF du Val d'Oise où j'haibitais à ce moment là, me diminuea mon allocation de logement, à un point que j'ai calculé sur une année pour 120 euros de plus de pension, je perdais plus de 350 euros d'allocation logement, alors je devrais refuser les augmentations de ma pension ?
A présent, je vis à Calais, et mon fils vit avec moi, car financièrement on n'y arrive pas, ici, le logement est à mon nom, et pour plus de 500 euros de Loyer, j'ai moins d'allocation logement qu'à Villiers le Bel, où j'avais un loyer de 423 euros, et pourquoi ? la CAF m'a téléphoné, et un monsieur m'a dit "c'est comme ça Mme" et j'ai répondu que du coup mon pouvoir d'achat diminué encore plus et là il m'a dit"mais comme tout le monde Madame" et cela a été plus fort que moi je lui ai dit" vous n'allez pas comparait votre salaire, avec le montant de ma pension ? vous savez combien je touche et mon pouvoir d'achat n'a rien à voir avec le vôtre" et là, plus de réponse du tout!!!
Ras le bol de vivre avec moins de 500 euros par mois, car une fois payé mon loyer je n'ai que cette somme pour vivre!!
Merci à vous et je viens vous rejoindre dans votre "combat" qui est le mien, et celui de mon fils
Claudine

Écrit par : Degouy | 18/02/2008

bonjour,

j'ai 29 ans et je suis handicapé de naissance, l'accouchement c'est très mal passé et ma mère et moi avons tout les deux étaient affectés.
je suis né totalement déformé, les médecins disaient à ma famille que je ne survivrais pas, heureusement ils se trompaient, j'ai grandis avec des pieds Bô ( Varus /Equin ) ce handicap s'est propagés avec ma croissance, il a déformé mes genoux entrainant de multiple chirurgies des genoux et des pieds. je n'ai quasiment pas eu de scolarité, je passais ma vie dans les hôpitaux.
en 2002 j'ai subis une énième opération des pieds mais j'ai malheureusement était contaminé par une infection nosocomiale, pendant cette hospitalisation qui a duré plus de 3mois, je me suis retrouvé sans ressources j'ai du vivre avec 100€ par mois avec plus de 300€ de facture à payer. personne ne m'a aidé, pour survivre j'ai du contracté un 'prêt à la consommation' auprès d'un organisme de crédit. j'ai du demander une permission spéciale pour quitter l'hôpital et me rendre devant la cotorep afin de percevoir l'aah en février 2002, la CAF m'a fait patienter pendant des mois pour me verser l'aah pour au final me diriger ver la CPAM et la pension d'invalidité, à cette époque je ne le savais pas, mais une erreur bureaucratique à fait que j'ai perçu l'ahh et la pension d'invalidité pendant deux ans, deux ans plus tard (2004)la caf me contacte et me somme de rembourser le trop perçu, je fais une demande de grâce et on me juge de mauvaise foi, on m'impose donc un paiement échelonné

aujourd'hui avec mes 620 euros de pension je dois rembourser la CAF et l'organisme de crédit qui m'as permis de survivre en 2002. je dois aussi subvenir au besoin de ma compagne qui poursuit des études en fac de droit ( frais d'inscriptions, livres, ect )

cette situation est intenable, je ne me suis plus rien acheter pour mes besoins personnels depuis 2002.

Écrit par : Michaël Houfani | 19/02/2008

Je voudrais réagir au commentaire de la personne qui demandait que, dans nos revendications, nous n'oubliions pas les aidants familiaux. Il est bien évident que, lorsque la maladie ou le handicap " tombe" sur une personne, enfant ou adulte, c'est toute la famille proche qui est atteinte et souffre, d'une manière différente mais réelle et souvent en silence. C'est pourquoi la revalorisation des minima sociaux est impérative car elle permettra de soulager ces aidants d'une partie de leur angoisse financière. C'est aussi pour cette raison que je serai dans le défilé.

Écrit par : PELLEAU Michel | 19/02/2008

Effectivement l'emploi est un vecteur primordial pour l'insertion des personnes en situation de handicap. D'ailleurs je reproche à ce ce pacte ni pauvre ni soumis de ne pas prendre en considération de maniére explicite cette dimension. Qu'elle est la rémunération moyenne en ESAT ou en Entreprise Adaptée. On réclame le SMIC pour les personnes en situation de handicap qui ne travaille pas . Certes. Mais si nous n'avons pas une politique salariale en ESAT ou en Entreprise Adaptée, cette revendication n'est qu'illusion D'ailleurs la loi du 11 février 2005 dans la section 4 article 38 indique qu' une subvention spécificique permet d'avoir cette politique salariale; Est ce qu'elle est suffisante ? Pourquoi ce n'est pas une revendication ? De plus le Décret du 13 février 2006 dans son article 1 sous section 6 confirme "L'entreprise adaptée favorise le projet professionnel du salarié handicapé en vue de sa valorisation de sa promotion et de sa mobilité au sein de la structure elle même ou vers d'autres structures" ( pour information le taux d'insertion est de 4% en milieu ordinaire) N'est ce pas une revendication légitime pour tous ces travailleurs en situation de handicap dont la rémunération moyenne en entreprise adaptée est le SMIC et en ESAT ( la moitié de SMIC). Vous voulez priviligier le travail à l'assistance il ne suffit pas de le dire, il faut le revendiquez en réclamant des moyens et il faut le démontrer. Je finirais mon propos par l'article 23 de la Déclaration universelle des droits de l'homme: Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu'à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s'il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale.

Écrit par : GILBERT | 21/02/2008

J'ajouterai au texte de Glibert :
il existait une mesure de "travail léger" dans le code du travail, je ne sais si elle y est encore: si un handicapé travaillait dans une entreprise normale mais moyennant un temps partiel à cause de son handicap (fatigabilité...), l'employeur avait - de charges sociales ,
ce serait mieux pr la socialisation, l'acceptation, et pour être aidé dans ses "actions",
ce serait mieux que mettre les gens "dans une case à part"
(quand on est entre personnes du même handicap, l'un ne peut pas compenser l'autre et donc on est moins opérationnel; de + la société ne nous voit pas et donc ne voit pas la nécessité de s'adapter),

d'autre part, pourquoi les ouvriers handicapés ne sont-ils pas couverts par le code du travail alors que les encadrants non handicapés le sont? ils devraient avoir à EGALITE les mêmes horaires, un contrat de travail, intéressement au bénéfice, pouvoir aller en prud'hommes, avoir des représentants du personnel, l'hygiène et la sécu et des secouristes du travail ; lle % de capacité de travail devrait être déterminé par une personne extérieure à l'entreprise.

Écrit par : renaud | 27/02/2008

Personnellement j'ai toujours refusé les propositions d'insertion professionnelle qui m'étaient faite par la Cotorep, à cause précisément de ce dispositif hallucinant d'archaïsme où le peu de revenu que vous percevez vous est soustrait de votre allocation... Ceux que j'ai connus qui sont tombés dans le piège n'y sont pas tombés une seconde fois.

Autre aspect : Malheur à nous si nous tombons malades. En cas d'hospitalisation prolongée, les CAF nous sucrent notre alloc à hauteur du temps qu'on aura passé dans un lit d'hôpital. Il faut le savoir et beaucoup l'ignorent.

Alors ça nous donne quoi, ce tableau à dominante noire ? On nous interdit de vivre en couple avec quelqu'un qui a un emploi, on nous interdit de tomber malades, on nous décourage de prendre un boulot, en même temps on nous traite d'assistés et nous affirme "qu'on a la belle vie", mine de rien on nous pousse gentiment à l'illégalité (vivre avec 620€ étant impossible dans certaines régions, il faut bien trouver à arrondir au black quand on le peut), à côté de ça, en cas de soupçon, les nuisibles de la CAF nous dépêchent leurs sbires pour s'ingérer dans nos vies privées... Géniale, notre situation. Les dissidents politiques étaient à peine moins bien traités à l'époque des Soviets.

Pendant ce temps les Conseils Généraux subventionnent grassement, avec l'argent des contribuables, des flopées d'"entreprises d'insertion" qui n'insèrent personne, qui sont de véritables officines de l'esclavage habilitées à faire de l'argent sur le dos des RMIstes et des travailleurs handicapés, et ce avec la complicités de services publics tels que les Cotorep, les Caf et les ANPE, et la bénédiction de certaines assos déclarées d'utilité publique qui se prétendent "sensibilisées à la cause de la réinsertion des personnes en difficulté".

On est là dans le scandale permanent, l'hypocrisie révoltante, la gabegie colossale. Et on ne nous dit rien des masses de fric engrangées par les Agefihp, sensées aider à l'insertion des personnes handicapées. Essayez donc de demander à votre Cotorep de vous aider à passer le permis de conduire. Elle vous dira que ça relève de leurs services. Contactez-les si vous le pouvez. Il y a fort à parier que vous attendiez encore leur réponse dans dix ans.

J'ai vingt-deux ans de Cotorep derrière moi. Je connais à fond les pratiques de ces guignols. Les Caf, ça fait aussi longtemps que je les pratique, et je n'ai toujours pas compris comment leurs fonctionnaires dûment syndiqués arrivent encore à se regarder dans une glace.

Révolté, moi ?
Nonon, ce n'est qu'une impression...!
Cela dit, ce serait bien que le mouvement "Ni Pauvre Ni Soumis" existe encore après la manif du 29. Et ce serait mieux encore si ce mouvement adoptait l'attitude radicale des Don Quichotte et des Jeudi Noir. Occupations de locaux chez nos amis des CAF à l'heure où ils partent en week-end, organisation de campements dans les Cotorep, renvois de cartes d'électeurs pour ceux qui en ont encore une, création sur le Web d'une liste noire des fonctionnaires des Cotorep de France et de Navarre à qui il faut absolument éviter d'avoir affaire, etc.

Mais je ne me fais guère d'illusions... Le fameux modèle scandinave restera pour nous une utopie, condamnés que nous sommes à devoir survivre dans l'un des pires modèles d'exclusion qui soient : l'ex-pays des droits de l'homme.

Écrit par : JP BAISSAC | 26/03/2008

Bonjour,

j'ai une info pour tous les adultes handicapés à 80% qui touche l'AAH 628,00 euros et qui perçoivent l'aide à l'autonomie de vie les 103,00 euros.

Vous avez tous et toutes droit au complément de ressource dont le montant est plus élevé, il est de 179,00 euros. Il faut en faire la demande à la maison du handicap ce qui remplace maintenant la COTOREP.

Les travailleurs sociaux que j'ai contacté lorsque j'ai eu des problèmes financiers ne m'ont jamais informé que j'avais droit à cette prestation, ces gens là se connecte pourtant tous les jours sur le site de la CAF.


Depuis 23 années j'ai perdu cette prestation donc j'ai pensé à vous informer. Vous trouverez tous les renseignements nécessaire pour demander cette prestation sur le site de la CAF ( rubrique prestation ) de votre région.
Faites circuler s'il vous plait l'info aux gens qui ne sont pas informés.

Je pense que nous sommes déjà en situation de handicap et financièrement défavorisés donc 70,00 euros en plus cela met un peu de beurre dans les épinards.

Je ne sais pas si depuis mon post l'on peut me contacter personnellement, mais si cela est le cas je me tiens à la disposition des gens qui ont besoin de renseignement au sujet de cette prestation, je répondrai volontier à tous les mails.

Au cours des témoignages que j'ai pu lire certaines personnes se voient amputés ou leur AAH supprimée car ils travaillent ou leur conjoint travaille, car ils ont trop de revenus. Là je ne suis pas d'accord car la suppression ou l'amputation de l'AAH c'est pour moi une façon de ne plus reconnaitre le handicap de la personne.

Enfin bravo à tous ceux et toutes celles qui étaient à la manif le 29 Mars.
Bravo Bravo encore Bravo

Marie-Christine Blanc

Écrit par : Blanc Marie-Christine | 04/04/2008

Le mouvement "ni pauvre ni soumis" et la manifestation du 29 mars ont permis d'ouvrir un espace de visibilité et d'expression à des gens réduits à vivre sous le seuil de pauvreté parce que malades ou handicapés .
Le succès médiatique de cette démarche montre que c'est au prix du regroupement et de la mobilisation que nous pourrons espérer faire entendre notre voix .
Permettez-moi un témoignage qui montrera en quoi les droits les plus élémentaires dus aux assurés sociaux peuvent être bafoués .
Je suis touché par une maladie dite orpheline très invalidante et difficile à diagnostiquer . Un expert agréé par la Caisse Primaire d'Assurance Maladie des Vosges m'a considéré en mesure de reprendre une activité salariée normale alors qu'il était en possession d'un compte rendu médical précisant que j'étais dans un "contexte d'asthénie majeure (ce qui correspond à une activité physique inférieure à la marche lente)" .
Privé ainsi de mes droits , je me suis retrouvé 7 mois durant sans aucune ressource , d'où endettement , recours à l'aide sociale , dépression .
Depuis , alors que la CPAM des Vosges refuse d'entendre parler de ma réclamation , j'ai lancé une pétition multisupport qui , réclamant le désaveu de cette expertise inique , a recueilli de nombreuses signatures , dont celles de personnalités telles que RICHARD BOHRINGER , acteur bien connu et parrain de la FNATH en 2007 , et AZOUZ BEGAG , ancien ministre du gouvernement VILLEPIN .
J'invite toutes les personnes sensibilisées à mon action à signer cette pétition sur le site www.lapetition.com ( taper le titre "une expertise médicale inéquitable" et sélectionner la rubrique "droits de l'homme" ) . D'avance merci .
Je suis d'autant plus déterminé dans ce combat que , au-delà de mon cas personnel , je veux faire en sorte que d'autres assurés sociaux n'aient pas à souffrir à leur tour d'une telle atteinte à leurs droits . Comme tous les autres , les malades ou handicapés ont droit au respect de leur dignité !!

Écrit par : DIDIERJEAN | 07/05/2008

le territoire de Belfort se mobilise pour cette cause en commun, les associations manifesterons le 10 Juin 2008 devant la préfecture de Belfort, et n'ésiteras pas a vous tenir au courant des suites de cette derniere...

Écrit par : APPELLIS Jean-Pierre | 04/06/2008

o secours, surtout ne travaillez pas, surtout n'essayez pas.... c'est un piege a con!!

j'avais trouvé un job a domicile, je suis en invalidité 2 eme categorie,
ou je gagnais miserablement de 80 a 180 euros par mois.

EN INVALIDITE j'avais 250 euros de pension plus 380 euros du fnI.



he bien depuis 2 mois j'ai du arreter ce travail vu que ce miserable salaire m'a été retenu, cequi fait que je me suis retrouvé avec 350 par mois, salaire compris.

J4AI donc arreté de travaillé, mais depuis 2 mois, impossible de retrouvé le fsi
je me retrouve avec donc 250 euros mensuel.

je suis en train de saisir une instance juridique pour non assistance a personne en danger.

je remercie vivement les employes de la securite sociale de marseille qui m'ont foutu bientot a la rue, en perdant tous les paipiers, justificatifs demandés, des coups de fils ou j'ai 250 personnes qui s'en foutent... voire meme m'insulter.

JE SUIS SURE QUE PARMI VOUS, IL Y EN A QUI VIVENT OU ONT VECU DES SITUATIONS PAREILLES;

il faut descendre dans la rue, bloquer, gueuler, se faire entendre. ... pendant que les nantis, se gavent..... la misere avance. bougeons nous.

Écrit par : devile | 06/06/2008

Bonsoir, votre message m'interpelle ! car je suis nouvelle dans la siutation d'handicap. Je touche une pension de 417€ en 2ème catégorie, quant au FSI, c'est en cours mais je ne sais pas encore le montant. Je croyais que l'on pouvait travaillé, ne serait-ce qu'une heure par jour ? et cumuler le tout à condition que ce cumul PI*FSI*petit travail, ne dépasse pas soit le montant de base donné par le dernier employeur avant la mise en invalidité ?, ou bien le salaire de base fixé par la CPAM. Cela semble assez complexe, demain justement j'ai rdv à la CPAM pour connaître ses droits. De toute façon, je ne rêve pas, je sais bien que tous ces organismes tirent la ficelle de leur côté. Et par rapport au Président de la République, l'avenir je le sens très mal. Bon courage à tous ! cordialement

Écrit par : nadine D. | 12/06/2008

Bonjour,
je pense que nous handicapé ont ne se fait pas assai entendre auprès du gouvernement ,les milliards qui sont donnés à des personnes qui sont en bonnes santés BANQUE,INDUSTRIELLES,ETC....et bien moi je pense avant de distribuer cette argent le gouvernement devrait mettre des conditions pour embaucher les handicapés.
beaucoup d'argent donné et gaspiller mais toujours sans penser aux handicapés .Il faut redescendre dans la rue pour nous faire entendrent.Les fonctionnaires descendent bien dans la rue et ces gens n'ont pas de probleme de santé ou autre il ne sont pas sur fauteuil roulant ,ils ont une paye en fin de mois ,nous handicapé rien nous sommes oublié par le gouvernement mais le nombre d'handicapé qui vote se sont des voies pour les élus mais ils oublient vite ! alors agissont vite ne plus entendre les personnes dire oh le pauvre ,je le plains etc........mais que l'on puissent être sur un pied dégalité au niveau financier, ET ETRE UN CITOYEN COMME TOUT LE MONDE BOUGEONS NOUS. M.SARKOZY JE PENSE QU'IL PEUT LE FAIRE .ET JE RAPELLE TOUS DANS LA RUE

Écrit par : dan | 05/05/2009

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