nipauvrenisoumis.org

Dès à présent, vous pouvez télécharger les premiers éléments de la campagne

- Annonce presse A4

- Annonce presse A4 en version Haute Définition
 

- Annonce presse A4 n°2 en version Haute Définition

- Tract A5

- Tract A5 en version Haute Définition

- Affiche 40x60 : participez aux actions locales (adhérents)

- Affiche 40x60 en version Haute Définition

- Affiche 40x60 : rejoignez le mouvement (grand public)

- Affiche 40x60 en version Haute Définition

- Signature de courriel : restons mobilisés !

- Le manifeste Ni pauvre, ni soumis

Martin Hirsch était à Toulouse les jeudi 11 et vendredi 12 avril dernier dans le cadre du grenelle de l'insertion.
Quatre associations du collectif "Ni pauvre, ni soumis" l'ont interpellé sur la pauvreté des personnes en situation de handicap et de maladie invalidante. Toutes ont exprimé notre colère devant les non réponses du gouvernement sur cette question.
C'est lors d'un débat organisé à l'Ecole Supérieure de Commerce de Toulouse et devant un amphi archi comble que nous avons dénoncé le mépris du président de la République et de son gouvernement.
Les étudiants, surpris de cette incursion, ne pourront plus dire maintenant qu'ils n'étaient pas au courant !

AUCH, 9 avril 2008, 11 h - conférence de presse
Avant de partir à Toulouse remettre au préfet de région les chèques de 6,83 euros à l'ordre de Nicolas Sarkozy, le Conseil Départemental APF et quelques adhérents informent les Gersois, via les médias locaux, des suites de la démarche du mouvement Ni pauvre, ni soumis. Nous témoignons de la mobilisation sans précédent du 29 mars à Paris et remercions les Gersois qui sont venus à Paris et ceux, nombreux, qui nous ont soutenu moralement et financièrement.

Devant la préfecture de Toulouse

Les renseignements généraux nous disent que personne de la préfecture viendra pour recueillir l'enveloppe avec les chèques... Nous faisons bloc devant les grilles et leur disons que nous n'en sortirons que lorsque le chef de cabinet viendra à notre encontre.
Quelques minutes et coups de gueule plus tard, le chef du cabinet est bien venue prendre les chèques... Nous ne sommes pas des chiens ! Une fois par mois on peut "déranger" quelqu'un de la préfecture pendant quelques secondes...

A savoir que le chef de cabinet de Nicolas Sarkozy a répondu à chaque personne qui avait envoyé son chèque au mois de mars. Sans surprise...
promesse de revalorisation de l'AAH en 2008 de 5 % et pour le reste, allez bosser feignants !
Plus de photos dans l'album des actions locales du Gers, en cliquant ici. 

La manifestation en vidéo

 

Pour visualiser la manifestation, cliquez ici.

 

Sachez que la marche du samedi 29 mars 2008 a fortement impacté le gouvernement qui reconnaît pleinement la légitimité des actions du collectif « Ni pauvre, ni soumis ».

Ce contexte ne peut que renforcer notre conviction à poursuivre nos actions. Nous avons tous été capable de faire la démonstration massive de notre détermination en nous rassemblant à Paris. Maintenant, c’est localement qu’il faut trouver d’autres formes de protestations ! Nous invitons donc les collectifs à se réunir au niveau local et à décider des actions locales à mener pour porter les revendications du collectif « Ni pauvre, ni soumis » haut et fort !

Au niveau national, de nouveaux outils de sensibilisation seront mis en ligne dans la rubrique « Boîte à Outils » de ce blog, la semaine prochaine. Vous serez également informés des actions entreprises à Paris.

Vous l’avez peut-être lu hier, X. Bertrand et V. Létard ont répondu au collectif « Ni pauvre, ni soumis », dans une tribune publiée dans Le Monde.

Parallèlement, Jean-Marie Barbier, président de l’Association des paralysés de France recevait un courrier de leur part en réponse à leur rencontre du mardi 1^er avril 2008.

Ces deux « types de réponse» sont bien la preuve que notre manifestation a marqué les pouvoirs publics. Toutefois, leur contenu reste bien en deçà de nos demandes. Nous devons donc continuer à nous mobiliser !

Pour télécharger le courrier, cliquez ici.

Pour lire la tribune parue dans Le Monde, cliquez ici.

Si les « caisses sont vides »… nos poches aussi !

Dans un communiqué envoyé à la presse ce jour, le collectif « Ni pauvre, ni soumis » réaffirme sa détermination à des responsables politiques qui ne voient pas, à des responsables politiques qui n’entendent pas, à des responsables politiques qui ne comprennent pas !

Hier, mercredi 2 avril, les organisations associatives membres ont décidé la poursuite du mouvement « Ni pauvre, ni soumis » et d’agir avec insistance jusqu’à l’obtention d’un revenu d’existence pour les personnes en situation de handicap et de maladie invalidante qui ne peuvent pas ou plus travailler. Sans attendre la conférence nationale du handicap qui aura lieu début juin, les organisations demandent que les améliorations de l’allocation aux adultes handicapées (notamment les conditions d’accès au complément de ressources ou la prise en compte des ressources du conjoint) puissent être adoptées rapidement. Concrètement, plusieurs actions vont se développer dans toute la France.

Mais aussi, le collectif « Ni pauvre, ni soumis » lance un appel à venir rejoindre le mouvement à toutes les personnes concernées ou non, à tous les citoyens, à toutes les associations, à tous ceux qui souhaitent défendre une société solidaire, qui ne réduit pas sans cesse l’homme à sa capacité de travail ! Vous pouvez compter sur le collectif « Ni pauvre, ni soumis ».

Pour télécharger le communiqué de presse, cliquez ici.

Suite à la marche de ce samedi 29 mars, plusieurs associations (APF, UNAPEI, FNATH, CNPSAA, FFAIMC, AIDES, CISS) ont été reçues hier soir, mardi 1er avril, Xavier Bertrand et Valérie Létard.

Alors que les associations demandaient des réponses concrètes aux ministres, leur seule réponse fut de rappeler que cette discussion devait s'inscrire dans le cadre du comité de suivi de la réforme de la politique du handicap et de la conférence nationale du handicap du 10 juin prochain.

Les associations nationales membres du mouvement "Ni pauvre, ni soumis" ont donc décidé de se réunir aujourd'hui, jeudi 2 avril, dans l'après-midi, pour réfléchir aux actions à mener en réaction à cette réponse décevante du gouvernement.